Des larmes et de l’encre (Andante)
Des larmes et de l’encre
(Mes Vers De Besac – 2024)
Elle m’aura fait couler des larmesEt de l’encreLa femme dont toujours le charmeAu loin m’échancreDepuis qu’elle porte le jasminPar ses méandresDedans son ventre, un gamin
Celui qui je sais la transcendeQu’elle enfanteCelui qu’on devait faire ensembleDes nuits dansantesJe vois à sa poitrine penchanteQu’elle est changeanteQu’elle s’enchante andante
Ainsi que les mots viennent de larmesEt de l’encreJ’avais pourtant jeter les armesEt ma palancreMême à mille lieux de son âmeVoilà le chancreQui jette l’ancre désenchantée
J’imagine que le vacarmeDans sa chambreLa nuit où elle l’a fait venirEntre ses jambesJe ne rêve que du son des lamesSur mes membresEt me suspendre à jamais
Elle m’aura fait couler des larmesEt de l’encreLa reine dont toujours la flammeAu loin m’étrangleDepuis qu’elle porte entre ses reinsPar ses méandresDedans son ventre, un gamin
Même au loin de son CanadaAu mois de septembreMoi, j’eus le vin qui cascadaEn mille cendresC’est les chutes du NiagaraC’est le gingembreCueilli dans l’ambre, dans sa main
Que je me nappe du napalmDe son pampreQue je renverse l’huile de cameDans l’esclandreJe sais sa poitrine pendanteEt mutanteQu’elle s’enchante andante
Elle m’aura fait couler des larmesEt de l’encreLa demoiselle devenue dameFécondanteDepuis qu’elle porte entre ses reinsEt ses méandresDans son ventre, son gamin
Ne demeurent que du chant des larmesEt de l’encreComme pour écrire sur l’oriflammeMoi, le cancreQue depuis qu’elle porte dans son bainDans son ventreUn gamin qui aurait pu être le mien
Elle m’aura fait couler des larmesEt de l’encreLaurène dont toujours la lameAu loin m’éventreDepuis qu’elle me donne plus le seinMoi, je déchanteEt je chante andante
Elle m’aura fait couler des larmesEt de l’encreLaurène dont toujours la lameAu loin m’éventreDepuis qu’elle me donne plus le seinMoi, je déchanteEt je chante andante
Paroles et musique de Micka Lafi
Paroles et musique de Micka Lafi
Elle m’aura fait couler des larmesEt de l’encreLa femme dont toujours le charmeAu loin m’échancreDepuis qu’elle porte le jasminPar ses méandresDedans son ventre, un gamin
Celui qui je sais la transcendeQu’elle enfanteCelui qu’on devait faire ensembleDes nuits dansantesJe vois à sa poitrine penchanteQu’elle est changeanteQu’elle s’enchante andante
Ainsi que les mots viennent de larmesEt de l’encreJ’avais pourtant jeter les armesEt ma palancreMême à mille lieux de son âmeVoilà le chancreQui jette l’ancre désenchantée
J’imagine que le vacarmeDans sa chambreLa nuit où elle l’a fait venirEntre ses jambesJe ne rêve que du son des lamesSur mes membresEt me suspendre à jamais
Elle m’aura fait couler des larmesEt de l’encreLa reine dont toujours la flammeAu loin m’étrangleDepuis qu’elle porte entre ses reinsPar ses méandresDedans son ventre, un gamin
Même au loin de son CanadaAu mois de septembreMoi, j’eus le vin qui cascadaEn mille cendresC’est les chutes du NiagaraC’est le gingembreCueilli dans l’ambre, dans sa main
Que je me nappe du napalmDe son pampreQue je renverse l’huile de cameDans l’esclandreJe sais sa poitrine pendanteEt mutanteQu’elle s’enchante andante
Elle m’aura fait couler des larmesEt de l’encreLa demoiselle devenue dameFécondanteDepuis qu’elle porte entre ses reinsEt ses méandresDans son ventre, son gamin
Ne demeurent que du chant des larmesEt de l’encreComme pour écrire sur l’oriflammeMoi, le cancreQue depuis qu’elle porte dans son bainDans son ventreUn gamin qui aurait pu être le mien
Elle m’aura fait couler des larmesEt de l’encreLaurène dont toujours la lameAu loin m’éventreDepuis qu’elle me donne plus le seinMoi, je déchanteEt je chante andante
Elle m’aura fait couler des larmesEt de l’encreLaurène dont toujours la lameAu loin m’éventreDepuis qu’elle me donne plus le seinMoi, je déchanteEt je chante andante